Ce
dispositif nous invite à une danse, nous offrant un espace hors du temps et des
conventions. IL nous met aux prises avec sa matière, ses limites, ses secrets,
confrontant les danseuses à leurs propres secrets, leurs états, leur vie,
tantôt protégées, tantôt contraintes par ces tubes métalliques.
La
cage devient un lien indispensable, un obstacle insurmontable inerte et froid,
un abri rassurant, un isoloir, qui va ouvrir les possibles, réels ou illusoires
de chacun.
L’orfèvrerie des
femmes nous entraine à la recherche d’un équilibre, de ses déséquilibres, dans
un monde vertigineux au contact de ce qui est précieux, fragile ou
redoutable.
La
cage nous invite à rentrer en elle, comme un inconnu invite une femme au bal…